La météo perturbée contrarie mes programmes mais me laisse le temps pour mettre à jour le blog.
Le weekend dernier j'étais avec Sonia au refuge du Chatelleret pour 2 nuits. C'est un refuge que Sonia connait bien puisqu'elle en a été la gardienne jusqu'en 2003. Avant elle, le refuge était gardé par ses parents et grands parents. Autant dire que quand on monte là bas je la laisse passer devant !
Le premier jour nous grimpons la voie « Nous partirons dans l'ivresse » en face sud ouest de la Meije. Nous prenons notre temps pour attaquer avec le soleil à 11h. L'escalade est toujours aussi classe et le rocher superbe. Nous rentrerons juste à temps pour le repas du soir.
Le weekend dernier j'étais avec Sonia au refuge du Chatelleret pour 2 nuits. C'est un refuge que Sonia connait bien puisqu'elle en a été la gardienne jusqu'en 2003. Avant elle, le refuge était gardé par ses parents et grands parents. Autant dire que quand on monte là bas je la laisse passer devant !
Le premier jour nous grimpons la voie « Nous partirons dans l'ivresse » en face sud ouest de la Meije. Nous prenons notre temps pour attaquer avec le soleil à 11h. L'escalade est toujours aussi classe et le rocher superbe. Nous rentrerons juste à temps pour le repas du soir.
Le lendemain changement d'ambiance avec la voie « Le toit de son Maître ». La face sud ouest du Pic Maître est très haute perchée et on sent déjà plus ici l'effet « grand Oisans sauvage » !
Le glacier a bien perdu de l'épaisseur, le premier spit pourtant placé à l'intérieur de la rimaye par les ouvreurs est maintenant à 10 mètres de haut. J'en place un nouveau au départ avec le tamponnoir en me disant que les suivants apprécieront sans doute. Nous attaquons l'escalade à 11h comme la veille.
La voie est sympa aussi, même si le rocher me plait moins qu'à la Meije. Je ne ferais d'ailleurs pas en libre le passage d'Ao (6c/7a) du grand toit, peureux de me tirer à des écailles un peu trop élastiques à mon goût.
Du sommet la vue sur les faces sud de la Meije et du Pavé est superbe. Mais la descente est longue et semée d'embuches jusqu'à la Bérarde où nous arriverons à la nuit.
Encore bravo et merci à Sonia.
Bravo également aux ouvreurs qui ont eu le courage de monter toute cette quincaillerie là haut !
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